@Zlaw, et bien, une amatrice de longs messages à ce que je vois ! Voilà qui fait plaisir. Merci pour ton message de bienvenue !Tu as raison, je ne devrais pas me brider mais disons que j'essaie de garder le cap — pour le moment.
Figure-toi qu'avant d'écrire cette histoire, je m'étais toujours dit que je ne n'écrirai jamais de choses parlant de près ou de loin de politique. Et je me retrouve plongée dans les relations tortueuses d'une famille de la noblesse et dans des affaires purement politiques... Bon, il se trouve que je mets davantage l'accent sur ce qui est des émotions et des liens entre les différents personnages et la politique est en second plan, mais je suis la première étonnée. Je comprends que ce soit un sujet qui te perde, en tout cas ! (Tu es donc du genre à aimer torturer les auteurices...).
Diantre !"
Tu as su donner suffisamment de souffle à ton récit pour qu'il prenne sa vie propre : il ne m'en fallait pas plus pour me rassurer. Je te remercie sincèrement.
Je suis une multitâche qui aime procrastiner et qui préfère se concentrer sur d'autres personnages pour ne pas avoir à se confronter à la fin de son histoire... Ah mince, je ne devrais peut-être pas l'avouer aussi directement afin de garder les apparences sauves

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Mais je pense que tu as raison, à trop vouloir se focaliser sur un texte parfois on arrive tout simplement plus à se le voir, ce texte. Comme pour tout, c'est important de s'accorder des moments pour souffler, des pauses quand on en a besoin et surtout écrire des choses qui nous plaisent dès qu'on en ressent l'envie. C'est quand même nécessaire de garder un certain cap, je pense, et ne pas oublier où est-ce qu'on veut aller !
@Audrey Lys : merci pour ton chouette message ! Rien qu'à répondre à vos messages, je commence à réfléchir à mon projet — et surtout à accepter l'idée que je vais le balancer dans le grand monde. En tout cas, je prends ton conseil et le garde précieusement dans un coin de mon crâne. Ma plus grande peur est de ne plus pouvoir regarder en face mes propres textes, par dégoût ou parce que j'en ai assez. Je n'aimerais pas du tout que cela arrive.
Un chocolat chaud par cette chaleur ! (dit-elle en buvant un café brûlant). Mieux vaut un chocolat frappé. Je ne sais même pas si ça existe... Ce sera ma réflexion intense du matin.
Bonne journée à vous et encore merci pour vos messages !