Je m'excuse par avance pour les probables fautes que je vais faire, comme il est tard je suis un peu fatiguée.
Le côté écriture d'escargot et vouloir choisir les bons mots, je connais. Je n'aime pas trop (voire pas du tout du tout) faire des grosses relectures où je dois presque tout modifier parce que je n'ai pas pris le temps sur le premier jet. Plus que du jugement, c'est une certaine exigence que je me mets à moi-même, car je sais très bien que si je n'aime pas ce que j'ai écrit, jamais je ne le reprendrais (
pensée à cette histoire avec des pirates qui est, avec le recul, toute caca, et que je ne finirai jamais). Je me connais. Alors si ça me fait passer trouze milles heure sur ce seul chapitre... soit, ça va m'énerver, mais je me dis toujours que c'est histoire de moment : je n'y arrive pas maintenant, c'est pas grave, ça va venir, le moment où les conditions seront favorables (une ref au p'tit prince, éwé).
Quand au lieu, c'est le plus souvent à mon bureau tout encombré en face de la fenêtre, mais plus pour un souci pratique : j'ai régulièrement besoin des cartes, du plan de ma partie 1, et des textes épars que j'ai scotché sur ma fenêtre. Quand je n'en ai pas besoin, j'écris soit sur le bureau (parce que ma chaise est vieille, bancale et tordue, mais qu'est-ce qu'elle est confort) soit dans mon lit avec tout plein de coussins. Mais plus que le lieu, c'est le moment qui importe dans ma manière d'écrire. Et le moment, c'est souvent le soir, de préférence tard, les jours où je me suis levé tôt ou ceux où je comptais me coucher tôt
![Tongue :p](./images/smilies/people/face-savoring-food.png)
Autant dire que les nuits de l'écriture sont une aubaine pour moi, et que c'est dommage qu'il n'y en ai pas eu ce soir !
Je m'excuse pour ce pavé où il manque peut-être des lettres (certaines touches de mon clavier sont difficiles) et où il y a peut-être des fautes aberrantes. J'ai essayé de limiter les dégâts en me relisant régulièrement.