**Personnage ? Léandre, [Astel](http://www.plumedargent.fr/viewstory.php?sid=2787), de @Laure**
> C'est l'histoire d'un ado, mais un peu plus vieux que la dernière fois.
C'est très tentant de conclure cette soumission ici, mais ça ne rendrait vraiment pas justice à ce brave Léandre, qui a su m'entraîner dans ses mésaventures aux odeurs de crêpes et de chaussettes mouillées, me faire serrer les fesses, les dents, et les paupières pour ne pas lâcher une larme rebelle aux moments les plus poignants. Du rire aux pulsions protectrices, Léandre fait passer le lecteur par tout un éventail d'émotions, et je donnerais n'importe quoi pour raccourcir de quelques années et me plonger dans les mystères d'Astel à ses côtés ?
> Un peu déboussolé, Léandre se leva de sa chaise ? dont les pieds grincèrent comme une fourchette dans une assiette ? et ramassa son sac de ses mains tremblantes. Il traversa la classe et son silence écrasant, toujours pieds nus dans ses baskets, et jeta un regard à Rufus et à Arsène, qui le considéraient d?un drôle d?air.
Léandre avaient les mains tellement moites que des gouttes commençaient à perler sur ses paumes. Il se demandait bien quel délit il avait pu commettre. Ça ne pouvait être que ça, non ? On ne l?aurait pas sorti d?un examen à moins qu?il ait fait quelque chose de très grave.
Il essaya de penser à ce que ça pouvait être. La semaine dernière, il avait bien mâché du chewing-gum en classe et l?avait par la suite discrètement fixé sous sa chaise, mais on n?en aurait pas fait autant pour si peu.
Avait-on découvert son vilain graffiti dans les toilettes ?
Les gros nez rouges
Les gros nez rouges
**Personnage - Anselm ([Earth Never Dies](http://www.plumedargent.fr/viewstory.php?sid=766)), par @Elka**
>**Résumé** "C'est peut-être le Destin qui a fait de moi ce que je suis. C'est peut-être le Destin qui, à leur naissance, les a marqués pour qu'ils se retrouvent un jour. [...] Pour que la roue tourne et tourne encore. Pour nous faire croire que chaque moment de joie est éternel. Que certaines choses ne meurent jamais."
Chez les Arkans, le moment le plus important d'une vie est le jour où ils reçoivent leur Clef. S'ouvrent alors les portes de l'Académie où, à notre insu, ils suivent leurs cours. Mais les vieux cataclysmes sont tenaces, et le ciel recommence à broyer du noir...
Après que Dédé aie soumis Rebecca, je pensais ne pas trouver de meilleur ami... Puis je suis tombée sur Anselm. Il se fait désirer car il n'apparait que peu au tout début de l'histoire, mais je ne suis pas déçue de m'être entêtée dans ma lecture. Anselm est un grand frère, un fils, un ami, qui est là. Il est présent quand on a besoin de lui, mais aussi le reste du temps : on peut compter sur lui. Mais il est plus que cela : d'une personnalité riche, avec ses failles, ses couleurs, ses crevasses, ses élans, il nous donne envie de lui rendre la pareille, d'être là pour lui, traverser la distance de l'écran pour lui tendre la main.
Bref. Je vous souhaite une bonne rencontre avec ce personnage à la profondeur insoupçonnée, qui a su me toucher comme peu de personnages ont su le faire
>**Extrait** Alors Anselm s'était blindé, au cas où. Blindé à en faire mourir les sentiments qui lui étaient propres. Sa s?ur était demeurée près de lui, comptant sur lui comme toujours. Parfois, le regard qu'elle posait sur sa personne était triste, mais il s'en moquait.
Maintenant son insatiable besoin de se rendre utile, de se faire pilier pour quelqu'un, se transférait sur son père. Ce cercle infernal ne finirait donc jamais ?
« Je ne me laisserais donc jamais vivre ? »
>**Résumé** "C'est peut-être le Destin qui a fait de moi ce que je suis. C'est peut-être le Destin qui, à leur naissance, les a marqués pour qu'ils se retrouvent un jour. [...] Pour que la roue tourne et tourne encore. Pour nous faire croire que chaque moment de joie est éternel. Que certaines choses ne meurent jamais."
Chez les Arkans, le moment le plus important d'une vie est le jour où ils reçoivent leur Clef. S'ouvrent alors les portes de l'Académie où, à notre insu, ils suivent leurs cours. Mais les vieux cataclysmes sont tenaces, et le ciel recommence à broyer du noir...
Après que Dédé aie soumis Rebecca, je pensais ne pas trouver de meilleur ami... Puis je suis tombée sur Anselm. Il se fait désirer car il n'apparait que peu au tout début de l'histoire, mais je ne suis pas déçue de m'être entêtée dans ma lecture. Anselm est un grand frère, un fils, un ami, qui est là. Il est présent quand on a besoin de lui, mais aussi le reste du temps : on peut compter sur lui. Mais il est plus que cela : d'une personnalité riche, avec ses failles, ses couleurs, ses crevasses, ses élans, il nous donne envie de lui rendre la pareille, d'être là pour lui, traverser la distance de l'écran pour lui tendre la main.
Bref. Je vous souhaite une bonne rencontre avec ce personnage à la profondeur insoupçonnée, qui a su me toucher comme peu de personnages ont su le faire
>**Extrait** Alors Anselm s'était blindé, au cas où. Blindé à en faire mourir les sentiments qui lui étaient propres. Sa s?ur était demeurée près de lui, comptant sur lui comme toujours. Parfois, le regard qu'elle posait sur sa personne était triste, mais il s'en moquait.
Maintenant son insatiable besoin de se rendre utile, de se faire pilier pour quelqu'un, se transférait sur son père. Ce cercle infernal ne finirait donc jamais ?
« Je ne me laisserais donc jamais vivre ? »
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**Personnage - Heza, dans [Duel](http://www.plumedargent.fr/viewstory.php?sid=2641), de Heza**
> **Résumé** : Le duellisme judiciaire, ce n'est pas pour les femmes!
Il paraît... mais Heza ne l'entend pas de cette oreille.
A la recherche de sa soeur, elle intègre l'Institut et le cursus de duellisme judiciaire, dans l'espoir de pouvoir poursuivre sa quête.
Mais son arrivée n'est pas passée inaperçue, et la protection que lui procurait son anonymat s'étiole dès passée la lourde grille de l'enceinte.
Qui est-elle ? Et qui cherche donc à la tuer ?
J'ai tout de suite accroché avec cette histoire de duel et de jeune femme qui veut intégrer une formation soi-disant réservée aux hommes... Heza (le personnage, à ne pas confondre avec l'auteure au même pseudo ) ne se laisse pas faire et arrive à s'imposer malgré les obstacles qui lui barrent la route. On ressent tout de suite une grande sympathie pour sa situation et on a qu'une envie : l'aider, la soutenir, lui dire qu'elle a raison de ne pas se laisser faire... Bref, d'être sa pote et de lui payer un coup après ses cours de duel (je précise juste qu'il y a 4 chapitres en ligne, sans suite pour l'instant... J'espère que l'auteure reviendra un jour pour continuer cette histoire !)
> **Extrait** :
? Votre nom ? me demanda-t?il.
? Heza.
? Bien, Heza. Il n?existe pas de duellistes judiciaires femmes, est-ce que vous le savez?
? Oui.
? Et??
? Et je ne saisis pas la pertinence de cette remarque.
Il haussa les sourcils sous le coup d?une vraie surprise cette fois-ci.
? La pertinence ? me demanda-t?il. Vous souhaitez vous engager dans une des formations les plus dangereuses au monde, et vous ne voyez pas la pertinence dans ce que je viens de vous dire ?
Je vis du coin de l??il le doyen nous observer avec un grand sourire.
? Non, répondis-je simplement. C?est une formation qui est dangereuse en soit ; le fait que je sois une femme ne sera pas un facteur de risque supplémentaire dans l?absolu.
> **Résumé** : Le duellisme judiciaire, ce n'est pas pour les femmes!
Il paraît... mais Heza ne l'entend pas de cette oreille.
A la recherche de sa soeur, elle intègre l'Institut et le cursus de duellisme judiciaire, dans l'espoir de pouvoir poursuivre sa quête.
Mais son arrivée n'est pas passée inaperçue, et la protection que lui procurait son anonymat s'étiole dès passée la lourde grille de l'enceinte.
Qui est-elle ? Et qui cherche donc à la tuer ?
J'ai tout de suite accroché avec cette histoire de duel et de jeune femme qui veut intégrer une formation soi-disant réservée aux hommes... Heza (le personnage, à ne pas confondre avec l'auteure au même pseudo ) ne se laisse pas faire et arrive à s'imposer malgré les obstacles qui lui barrent la route. On ressent tout de suite une grande sympathie pour sa situation et on a qu'une envie : l'aider, la soutenir, lui dire qu'elle a raison de ne pas se laisser faire... Bref, d'être sa pote et de lui payer un coup après ses cours de duel (je précise juste qu'il y a 4 chapitres en ligne, sans suite pour l'instant... J'espère que l'auteure reviendra un jour pour continuer cette histoire !)
> **Extrait** :
? Votre nom ? me demanda-t?il.
? Heza.
? Bien, Heza. Il n?existe pas de duellistes judiciaires femmes, est-ce que vous le savez?
? Oui.
? Et??
? Et je ne saisis pas la pertinence de cette remarque.
Il haussa les sourcils sous le coup d?une vraie surprise cette fois-ci.
? La pertinence ? me demanda-t?il. Vous souhaitez vous engager dans une des formations les plus dangereuses au monde, et vous ne voyez pas la pertinence dans ce que je viens de vous dire ?
Je vis du coin de l??il le doyen nous observer avec un grand sourire.
? Non, répondis-je simplement. C?est une formation qui est dangereuse en soit ; le fait que je sois une femme ne sera pas un facteur de risque supplémentaire dans l?absolu.
Les gros nez rouges
**Histoire : La seconde option du balcon par @Isapass**
http://www.plumedargent.fr/viewstory.php?sid=2987
**Résumé** :
>Et si Cyrano avait changé d'avis...
**Justification**:
Appréciez l'habile versification
De cette vive et truculente fanfiction
Qui à l'amour de Cyrano m'a convertie.
Rire garanti pour les lecteurs avertis!
**Extrait** :
>CYRANO
Il faut que vous sachiez, oui, vous avez raison.
Le constat de départ sur la décision prise :
Votre beau tourtereau est con comme une valise.
http://www.plumedargent.fr/viewstory.php?sid=2987
**Résumé** :
>Et si Cyrano avait changé d'avis...
**Justification**:
Appréciez l'habile versification
De cette vive et truculente fanfiction
Qui à l'amour de Cyrano m'a convertie.
Rire garanti pour les lecteurs avertis!
**Extrait** :
>CYRANO
Il faut que vous sachiez, oui, vous avez raison.
Le constat de départ sur la décision prise :
Votre beau tourtereau est con comme une valise.
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**Histoire - Enfances Bafouées de @Harriett-Nay**
http://www.plumedargent.fr/viewstory.ph ... &warning=4
>Il est acerbe, il est glacial. Il n'a aucun goût vestimentaire, vit avec son chat, et sa meilleure amie est son assistante. Il a honte de ce qu'il est et le cache à tous, même parfois à lui-même, sauf quand le secret lui pèse et qu'il s'abandonne à des étreintes rapides dans les bras d'inconnus. Il est grand, maigre, blême, bibliothécaire. Et, ah oui! Il est suspecté de meurtre.
Cynique, pince sans rire, drôle, décalée ! Autant de qualificatifs qui vont parfaitement bien à cette histoire qui, si elle s'articule autour d'une sombre histoire de meurtre, s'ingénie à vous faire rire, ricaner, glousser et grincer des dents. Gros coup de coeur pour ce récit que j'ai lu et relu, qui me fais rire à chaque fois, pour le plus grand malheur de mes compagnons de train !
**Extrait *
>Je trouvais proprement incroyable cette attitude, surtout de la part de nos élus, qui étaient pourtant censés veiller sur le bien-être de leurs concitoyens. N?en déplût aux furoncles humains comme Morvet, la culture des adolescents, fût-ce au moyen d?Harry Potter et autres Sally Lockhart, était une responsabilité presque sacrée, que l?on n?avait pas le droit de négliger.
Et qui y avait-il pour s?en soucier ? Moi. Un homme allergique à presque toutes formes de relations sociales. Qui haïssait la promiscuité et ne pouvait supporter le contact humain plus de quelques secondes avant de s?embraser spontanément. Pauvres gosses...
Tout cela n?avait pas empêché Marlène de postuler pour être mon assistante. J?avais d?abord envisagé cela comme l?expression d?une profonde dépression. M?accepter sciemment comme patron, ce ne pouvait être qu?une forme d?appel à l?aide avant le suicide.
Or, elle était gaie, sympathique et vive. Les enfants l?adoraient. Pire que tout, je l?appréciais. Je ne parvenais pas à m?expliquer quelle défaillance de mon cerveau avait rendu cela possible, mais les faits étaient là. Il m?avait fallu à peine deux semaines pour la considérer comme une amie. Et je n?avais pas un seul autre ami dans cette ville depuis huit ans que j?y vivais.
http://www.plumedargent.fr/viewstory.ph ... &warning=4
>Il est acerbe, il est glacial. Il n'a aucun goût vestimentaire, vit avec son chat, et sa meilleure amie est son assistante. Il a honte de ce qu'il est et le cache à tous, même parfois à lui-même, sauf quand le secret lui pèse et qu'il s'abandonne à des étreintes rapides dans les bras d'inconnus. Il est grand, maigre, blême, bibliothécaire. Et, ah oui! Il est suspecté de meurtre.
Cynique, pince sans rire, drôle, décalée ! Autant de qualificatifs qui vont parfaitement bien à cette histoire qui, si elle s'articule autour d'une sombre histoire de meurtre, s'ingénie à vous faire rire, ricaner, glousser et grincer des dents. Gros coup de coeur pour ce récit que j'ai lu et relu, qui me fais rire à chaque fois, pour le plus grand malheur de mes compagnons de train !
**Extrait *
>Je trouvais proprement incroyable cette attitude, surtout de la part de nos élus, qui étaient pourtant censés veiller sur le bien-être de leurs concitoyens. N?en déplût aux furoncles humains comme Morvet, la culture des adolescents, fût-ce au moyen d?Harry Potter et autres Sally Lockhart, était une responsabilité presque sacrée, que l?on n?avait pas le droit de négliger.
Et qui y avait-il pour s?en soucier ? Moi. Un homme allergique à presque toutes formes de relations sociales. Qui haïssait la promiscuité et ne pouvait supporter le contact humain plus de quelques secondes avant de s?embraser spontanément. Pauvres gosses...
Tout cela n?avait pas empêché Marlène de postuler pour être mon assistante. J?avais d?abord envisagé cela comme l?expression d?une profonde dépression. M?accepter sciemment comme patron, ce ne pouvait être qu?une forme d?appel à l?aide avant le suicide.
Or, elle était gaie, sympathique et vive. Les enfants l?adoraient. Pire que tout, je l?appréciais. Je ne parvenais pas à m?expliquer quelle défaillance de mon cerveau avait rendu cela possible, mais les faits étaient là. Il m?avait fallu à peine deux semaines pour la considérer comme une amie. Et je n?avais pas un seul autre ami dans cette ville depuis huit ans que j?y vivais.
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**Personnage - Sam Cooper de Ceci est l'histoire de Sam Cooper de @uNeven**
http://www.plumedargent.fr/viewstory.php?sid=2975
>Sam Cooper est dépressif. Il est passionné d'histoires de super-héros et sait qu'il ne pourra jamais en vivre une lui-même...Sauf si.
Sauf si l'armée se passionne tout à coup pour une étrange masse énergétique multicolore flottant vers Clermont-Ferrand.
Sauf si des enfants commencent à développer certaines capacités, comme la pyromanie, la télépathie, ou encore une grande motivation pour jeter des chaises à la tête de soldats désabusés.
Sauf si un docteur malade clame pouvoir prendre le contrôle du monde entier.
Sauf si Sam Cooper se décide enfin à répondre à son téléphone.
Parce que... parce que Sam. Même si c'est un boulet, qu'il est à la ramasse et complètement dans son monde, c'est quelqu'un de drôle, de prévenant, d'un peu suicidaire et en total manque de bon sens. Avec lui, aucunes chances de s'ennuyer, animation garantie, et mal aux abdos quasi permanent à force de rire =D
**Extrait *
>Les jours filèrent sans que personne ne les compte, et Sam ne vit pas la fin de l?entraînement arriver. Un matin pourtant, alors qu?il sortait de la douche et saisissait son uniforme, la glace dans la porte de son casier l?arrêta. Il ne se reconnut pas tout de suite : il vit un jeune homme peu musclé, mais bien moins lourd et épais qu?il y a un mois. Ses cheveux au départ entièrement rasés étaient revenus timidement, formant une armée piquante sur son crâne. Il avait encore une tête s?apparentant à une boule de bowling, mais ses yeux bleu ciel et les fossettes creusées par son sourire rendait le tout plutôt plaisant.
-Salut, toi, sourit Cooper à lui-même en s?admirant de tous les angles.
-Cooper, fit Rossel d?une voix déjà dangereuse.
Sam sursauta et se cogna dans son casier. Il frotta son bras endolori tout en jetant un regard mi-désolé mi-amusé au colonel.
-Qu?est-ce que vous foutez encore ici à vous admirer narcissiquement alors que tout le monde vous attend à l?extérieur ?
Sam était devenu hermétique à toute remarque acide et posa son coude contre le miroir, dans une attitude qui se voulait trop séductrice pour être sérieuse.
-Je n?ai que deux minutes de retard. Peut-être que vous vouliez me voir en privé ? Suggéra-t-il, son cerveau enclenchant un slow composé de batterie et de cordes langoureuses sans qu?il ne le demande.
-Et peut-être que je vais vous compacter de sorte à ce que vous rentriez en petits morceaux dans ce casier.
http://www.plumedargent.fr/viewstory.php?sid=2975
>Sam Cooper est dépressif. Il est passionné d'histoires de super-héros et sait qu'il ne pourra jamais en vivre une lui-même...Sauf si.
Sauf si l'armée se passionne tout à coup pour une étrange masse énergétique multicolore flottant vers Clermont-Ferrand.
Sauf si des enfants commencent à développer certaines capacités, comme la pyromanie, la télépathie, ou encore une grande motivation pour jeter des chaises à la tête de soldats désabusés.
Sauf si un docteur malade clame pouvoir prendre le contrôle du monde entier.
Sauf si Sam Cooper se décide enfin à répondre à son téléphone.
Parce que... parce que Sam. Même si c'est un boulet, qu'il est à la ramasse et complètement dans son monde, c'est quelqu'un de drôle, de prévenant, d'un peu suicidaire et en total manque de bon sens. Avec lui, aucunes chances de s'ennuyer, animation garantie, et mal aux abdos quasi permanent à force de rire =D
**Extrait *
>Les jours filèrent sans que personne ne les compte, et Sam ne vit pas la fin de l?entraînement arriver. Un matin pourtant, alors qu?il sortait de la douche et saisissait son uniforme, la glace dans la porte de son casier l?arrêta. Il ne se reconnut pas tout de suite : il vit un jeune homme peu musclé, mais bien moins lourd et épais qu?il y a un mois. Ses cheveux au départ entièrement rasés étaient revenus timidement, formant une armée piquante sur son crâne. Il avait encore une tête s?apparentant à une boule de bowling, mais ses yeux bleu ciel et les fossettes creusées par son sourire rendait le tout plutôt plaisant.
-Salut, toi, sourit Cooper à lui-même en s?admirant de tous les angles.
-Cooper, fit Rossel d?une voix déjà dangereuse.
Sam sursauta et se cogna dans son casier. Il frotta son bras endolori tout en jetant un regard mi-désolé mi-amusé au colonel.
-Qu?est-ce que vous foutez encore ici à vous admirer narcissiquement alors que tout le monde vous attend à l?extérieur ?
Sam était devenu hermétique à toute remarque acide et posa son coude contre le miroir, dans une attitude qui se voulait trop séductrice pour être sérieuse.
-Je n?ai que deux minutes de retard. Peut-être que vous vouliez me voir en privé ? Suggéra-t-il, son cerveau enclenchant un slow composé de batterie et de cordes langoureuses sans qu?il ne le demande.
-Et peut-être que je vais vous compacter de sorte à ce que vous rentriez en petits morceaux dans ce casier.
Les gros nez rouges
**Personnage - Theresa, de [Darnley Hall](http://www.plumedargent.fr/viewstory.php?sid=2870), de @Eilish**
> **Résumé * C'est l'histoire d'une gouvernante.
Theresa, c'est une fille forte, courageuse, déterminée et qui ne se laisse pas marcher sur les pieds. Elle me semble (là où j'en suis dans ma lecture) admirable en tout point, et elle a comme cette façon d'être qui fait que j'ai l'impression de la comprendre, j'ai l'impression que c'est une amie à moi et qu'on s'entend bien toutes les deux. Je l'aime beaucoup.
> **Extrait * ? Je suis Miss Theresa Walsh, la gouvernante du jeune Sir Darnley.
[...]
? Darnley Hall nous a envoyé le mildiou ; ceux qui y vont ne tarderont pas à nous rapporter d?autres malheurs encore. Prenez la grand-rue et continuez donc votre route.
.
Comme si elle n?y avait pas pensé ! Le vent se moqua bruyamment, glaçant un peu plus ses doigts. Theresa changea sa valise de main et la vieillarde renfrognée la surveilla. À croire que des pommes de terres infectées se cachaient à l?intérieur.
.
? Quelle direction ? insista Theresa.
.
? Nord, après la roche gravée, répondit-elle avec un regard impatient vers sa fille. Les mauvaises choses viennent toujours du Nord.
> **Résumé * C'est l'histoire d'une gouvernante.
Theresa, c'est une fille forte, courageuse, déterminée et qui ne se laisse pas marcher sur les pieds. Elle me semble (là où j'en suis dans ma lecture) admirable en tout point, et elle a comme cette façon d'être qui fait que j'ai l'impression de la comprendre, j'ai l'impression que c'est une amie à moi et qu'on s'entend bien toutes les deux. Je l'aime beaucoup.
> **Extrait * ? Je suis Miss Theresa Walsh, la gouvernante du jeune Sir Darnley.
[...]
? Darnley Hall nous a envoyé le mildiou ; ceux qui y vont ne tarderont pas à nous rapporter d?autres malheurs encore. Prenez la grand-rue et continuez donc votre route.
.
Comme si elle n?y avait pas pensé ! Le vent se moqua bruyamment, glaçant un peu plus ses doigts. Theresa changea sa valise de main et la vieillarde renfrognée la surveilla. À croire que des pommes de terres infectées se cachaient à l?intérieur.
.
? Quelle direction ? insista Theresa.
.
? Nord, après la roche gravée, répondit-elle avec un regard impatient vers sa fille. Les mauvaises choses viennent toujours du Nord.
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