Que de sujets passionnants d'ouverts aujourd'hui !
Je dirais que je suis plutôt du genre à me laisser porter par l'écriture pour finir par me rendre compte qu'un plan me manque cruellement... En tous les cas, c'est ce qui s'est produit avec mon projet actuel.
Je pense qu'au départ ma crainte est de me piéger en écrivant un plan. Je préfère être libre et puis voir le plan se dessiner de lui-même au fil de l'avancement.
Si le plan posé sur le papier arrive plus tard, il me permet de fixer ce qui est déjà écrit et de voir où je vais. Mais là encore, ce n'est pas vraiment un *plan* mais davantage une *trame* (ce mot me paraît moins fort et moins restrictif). Cette trame est une référence à laquelle je reviens souvent mais en aucun cas une obligation. Je m'autorise des écarts, des ajouts, voire des suppressions (ce qui est rare jusqu'à présent).
L'avantage de cette trame en cours de route c'est qu'à mon sens, elle permet d'avoir une meilleure connaissance des personnages et de son univers. On les a pratiqué un peu et du coup, on les maîtrise mieux. Enfin en principe !
@primrose a dit :
> En fait, la seule planification que j?effectue, c?est lorsque je réfléchis au développement de mon intrigue dans mon lit, le soir, autrement dit, on a vu mieux en terme de fiches détaillées
Oh une adepte du "je pense à mon texte en m'endormant, j'ai soudain de très bonnes idées mais le sommeil est plus fort et j'ai tout perdu au réveil le lendemain" ?
