alienorlx - Une page Wikipedia, rien que ça.
Posté : 06 févr. 2022, 00:06
Bonsoir à tous !
J'ai cherché un titre de sujet original, je ne l'ai pas trouvé. C'est ballot, hein.
Nouvelle sur PA, j’ai eu la chance de n’avoir eu qu’à attendre dix petits jours pour m’inscrire sur ce forum. En attendant, j’ai eu l’occasion de lire des histoires absolument fantastiques et d’échanger avec des membres tout aussi passionnants/adorables. Sans parler de mes nouveaux lecteurs, dont je décortique les retours avec délectation.
En bref, je suis terriblement heureuse d’être tombée sur ce petit bijou de plateforme littéraire, profondément humaine et bienveillante. Une pépite, une mine d’or, un trésor… (Je me suis dit que j’allais poursuivre avec le champ lexical du joaillier, mais plus ça avance et plus je me dis que je ressemble à un dragon. Je n’ai rien contre les écailles, mais bon.)
Et puisqu’il faut se présenter…
Je m’appelle Aliénor (si jamais le pseudo ne vous l’avait pas déjà fait comprendre), j’ai 20 ans et je suis parisienne (la mauvaise humeur, ça me connaît, mais j’essaye de ne pas en faire un art de vivre). Je suis actuellement en 3e année de licence de droit. Mes études me plaisent beaucoup (évidemment, sinon je me serais arrêtée avant), mais il me manquait quelque chose pour avoir vraiment l’impression d’être à ma place.
J’ai passé mon enfance et une bonne partie de mon adolescence le nez dans les mots des autres, l’esprit perdu dans des mondes fantastiques (Pierre Bottero a été mon premier coup de coeur littéraire, je l'annonce de suite). Mes tout premiers écrits remontent à facilement une décennie, mais rien que je puisse partager sans avoir envie de m’enterrer six pieds sous terre (eh oui, mon œuvre infantile restera enfouie au plus profond de mes carnets). Arrivée au lycée, le reste de ma vie m’a un peu emportée (je ne vais pas vous décrire mes premières cuites et mes premiers émois amoureux, je pense que vous avez une idée assez précise de ce qu’une jeune fille de 15-16 ans peut faire de ses weekends). J’ai donc laissé derrière moi mes lectures et écrits, pendant plusieurs années.
Début d’année 2021, petite baisse de moral avec les confinements à répétition, la fac à distance et tout le fatras, et me voilà qui replonge dans les bouquins. Comment dire ? Ce fut une re-révélation. J’ai eu l’impression de me retrouver, de redécouvrir un petit (gros) morceau de moi qui m’avait terriblement manqué sans que je ne m’en aperçoive.
Et puis, en juin, fin de 2e année de droit, stage dans une grosse entreprise, été solitaire passé à squatter l’appartement d’une amie avec mon chat (qui ressemble davantage à un lémurien ou à un fennec qu’à un félin, soit dit en passant)… et retour de l’inspiration. Un matin, j’ai la tête dans un contrat mais l’esprit qui flotte, et une idée me vient.
« Et si le monde était déchiré en deux ? »
C’était le début de La Déchirure, ma saga de fantasy en cours. Le world-building et la préparation du tome 1 ont été achevés en un mois, la rédaction a suivi très naturellement. J’ai repris mes marques, retravaillé ma plume trop longtemps délaissée et, début novembre, le premier jet était achevé. Quelques relectures plus tard, j’ai compris que j’avais enfin trouvé quelque chose que je voulais garder dans ma vie, probablement jusqu’à sa fin (à 20 ans, c’est vite dit, mais l’inspiration a ses raisons que la raison ignore).
Nous sommes actuellement le 5 février 2022. Depuis la fin de La Terre des Illusions (le fameux tome 1, que je publie progressivement sur PA), j’ai griffonné l’intégralité du tome 2 et une bonne partie de la préparation du tome 3, j’ai rassemblé de vieilles et nouvelles pensées pour en faire un recueil (intitulé doux ravages, que je vous présenterai peut-être un jour), et j’ai commencé la rédaction d’un standalone beaucoup plus réaliste (Romance n’est pas une histoire d’amour, dont les deux premiers chapitres sont déjà dispos sur PA).
Ah oui, et j’ai foiré mon premier semestre. Évidemment. Concilier droit et littérature n’a pas fonctionné, mon inspi a bouffé mon Code civil. Mais c’est pas grave !
Que dire de plus ? Je suis bilingue français/anglais (d’où mes anglicismes fréquents et involontaires, mais je travaille dessus, promis) et, même si j’apprécie énormément la littérature française, la langue de mon cerveau m’impose un coup de cœur phénoménal pour les récits anglo-saxons (pour ce qui est contemporain, je suis une fan invétérée de Sarah J. Maas, Jennifer L. Armentrout et autres du genre, que je vous conseille de lire en VO bien sûr). Autant vous dire que si La Déchirure ne trouve pas ME à ses lignes, je me jetterai seule sur la traduction anglaise (et échouerai très probablement, n’étant absolument pas traductrice de profession, mais passons).
Je ne le dirai probablement jamais assez, mais je suis plus qu’aux anges d’avoir découvert PA. Au-delà de la simple plateforme (et un grand merci aux admins pour leur taff du futur), je suis over the moon d’avoir rencontré une communauté aussi merveilleuse (l’anglicisme est voulu, pour une fois).
Merci à tous pour le chaleureux accueil que vous avez réservé à mon travail encore bien vert. Je vous souhaite énormément de réussite et d’épanouissement, à coups d’encre et de vie bien remplie.
À très vite, sous vos écrits ou sous les miens !
(J’ai été bavarde, pardon.)
J'ai cherché un titre de sujet original, je ne l'ai pas trouvé. C'est ballot, hein.
Nouvelle sur PA, j’ai eu la chance de n’avoir eu qu’à attendre dix petits jours pour m’inscrire sur ce forum. En attendant, j’ai eu l’occasion de lire des histoires absolument fantastiques et d’échanger avec des membres tout aussi passionnants/adorables. Sans parler de mes nouveaux lecteurs, dont je décortique les retours avec délectation.
En bref, je suis terriblement heureuse d’être tombée sur ce petit bijou de plateforme littéraire, profondément humaine et bienveillante. Une pépite, une mine d’or, un trésor… (Je me suis dit que j’allais poursuivre avec le champ lexical du joaillier, mais plus ça avance et plus je me dis que je ressemble à un dragon. Je n’ai rien contre les écailles, mais bon.)
Et puisqu’il faut se présenter…
Je m’appelle Aliénor (si jamais le pseudo ne vous l’avait pas déjà fait comprendre), j’ai 20 ans et je suis parisienne (la mauvaise humeur, ça me connaît, mais j’essaye de ne pas en faire un art de vivre). Je suis actuellement en 3e année de licence de droit. Mes études me plaisent beaucoup (évidemment, sinon je me serais arrêtée avant), mais il me manquait quelque chose pour avoir vraiment l’impression d’être à ma place.
J’ai passé mon enfance et une bonne partie de mon adolescence le nez dans les mots des autres, l’esprit perdu dans des mondes fantastiques (Pierre Bottero a été mon premier coup de coeur littéraire, je l'annonce de suite). Mes tout premiers écrits remontent à facilement une décennie, mais rien que je puisse partager sans avoir envie de m’enterrer six pieds sous terre (eh oui, mon œuvre infantile restera enfouie au plus profond de mes carnets). Arrivée au lycée, le reste de ma vie m’a un peu emportée (je ne vais pas vous décrire mes premières cuites et mes premiers émois amoureux, je pense que vous avez une idée assez précise de ce qu’une jeune fille de 15-16 ans peut faire de ses weekends). J’ai donc laissé derrière moi mes lectures et écrits, pendant plusieurs années.
Début d’année 2021, petite baisse de moral avec les confinements à répétition, la fac à distance et tout le fatras, et me voilà qui replonge dans les bouquins. Comment dire ? Ce fut une re-révélation. J’ai eu l’impression de me retrouver, de redécouvrir un petit (gros) morceau de moi qui m’avait terriblement manqué sans que je ne m’en aperçoive.
Et puis, en juin, fin de 2e année de droit, stage dans une grosse entreprise, été solitaire passé à squatter l’appartement d’une amie avec mon chat (qui ressemble davantage à un lémurien ou à un fennec qu’à un félin, soit dit en passant)… et retour de l’inspiration. Un matin, j’ai la tête dans un contrat mais l’esprit qui flotte, et une idée me vient.
« Et si le monde était déchiré en deux ? »
C’était le début de La Déchirure, ma saga de fantasy en cours. Le world-building et la préparation du tome 1 ont été achevés en un mois, la rédaction a suivi très naturellement. J’ai repris mes marques, retravaillé ma plume trop longtemps délaissée et, début novembre, le premier jet était achevé. Quelques relectures plus tard, j’ai compris que j’avais enfin trouvé quelque chose que je voulais garder dans ma vie, probablement jusqu’à sa fin (à 20 ans, c’est vite dit, mais l’inspiration a ses raisons que la raison ignore).
Nous sommes actuellement le 5 février 2022. Depuis la fin de La Terre des Illusions (le fameux tome 1, que je publie progressivement sur PA), j’ai griffonné l’intégralité du tome 2 et une bonne partie de la préparation du tome 3, j’ai rassemblé de vieilles et nouvelles pensées pour en faire un recueil (intitulé doux ravages, que je vous présenterai peut-être un jour), et j’ai commencé la rédaction d’un standalone beaucoup plus réaliste (Romance n’est pas une histoire d’amour, dont les deux premiers chapitres sont déjà dispos sur PA).
Ah oui, et j’ai foiré mon premier semestre. Évidemment. Concilier droit et littérature n’a pas fonctionné, mon inspi a bouffé mon Code civil. Mais c’est pas grave !
Que dire de plus ? Je suis bilingue français/anglais (d’où mes anglicismes fréquents et involontaires, mais je travaille dessus, promis) et, même si j’apprécie énormément la littérature française, la langue de mon cerveau m’impose un coup de cœur phénoménal pour les récits anglo-saxons (pour ce qui est contemporain, je suis une fan invétérée de Sarah J. Maas, Jennifer L. Armentrout et autres du genre, que je vous conseille de lire en VO bien sûr). Autant vous dire que si La Déchirure ne trouve pas ME à ses lignes, je me jetterai seule sur la traduction anglaise (et échouerai très probablement, n’étant absolument pas traductrice de profession, mais passons).
Je ne le dirai probablement jamais assez, mais je suis plus qu’aux anges d’avoir découvert PA. Au-delà de la simple plateforme (et un grand merci aux admins pour leur taff du futur), je suis over the moon d’avoir rencontré une communauté aussi merveilleuse (l’anglicisme est voulu, pour une fois).
Merci à tous pour le chaleureux accueil que vous avez réservé à mon travail encore bien vert. Je vous souhaite énormément de réussite et d’épanouissement, à coups d’encre et de vie bien remplie.
À très vite, sous vos écrits ou sous les miens !
(J’ai été bavarde, pardon.)