De la Barbe à la Plume ...
Posté : 05 févr. 2022, 10:57
... il n’y a qu’une voie : écrire !
Après avoir rédigé, remodelé, puis définitivement supprimé une quantité inavouable de présentations, j’ai unilatéralement décidé de nous mettre en scène, vous et moi, pour expliquer ma présence ici :
- Bonjour, mon pseudo c’est Altaïr.
- Bonjour Altaïr. Pourquoi es-tu parmi nous ?
- Eh bien, parce que j’ai une passion. Pour l’écriture.
- Comme nous tous je crois. Continue. N’aie pas peur.
- Mon rapport à l’écriture est devenu passionnel, littéralement.
Je bois un peu d’eau avant de reprendre :
- Certains de mes écrits m’effraient. Ils sont douloureux. Et pourtant je ne peux me résoudre à m’en séparer. Si je tourne la page des cahiers que je remplis d’idées obscures c’est pour en noircir une autre, et lorsque je tire un trait sur certaines phrases, ce n’est jamais définitif. Les mots sont toujours là, mutilés mais bien lisibles.
- Ah. Et c’est tout le temps comme ça ?
- Oh non, heureusement. Il y a aussi des moments de grâce où j’écris de belles choses lumineuses, parfois drôles. Ces mots-là peuvent se montrer si doux que j’en oublierais presque les fois où ils me font souffrir.
- Qu’attends-tu de nous Altaïr ?
- Tout et son contraire : indifférence, curiosité, intransigeance, bienveillance, sévérité, justesse. J’écris comme je suis, lisez-moi comme vous êtes !
Après avoir rédigé, remodelé, puis définitivement supprimé une quantité inavouable de présentations, j’ai unilatéralement décidé de nous mettre en scène, vous et moi, pour expliquer ma présence ici :
- Bonjour, mon pseudo c’est Altaïr.
- Bonjour Altaïr. Pourquoi es-tu parmi nous ?
- Eh bien, parce que j’ai une passion. Pour l’écriture.
- Comme nous tous je crois. Continue. N’aie pas peur.
- Mon rapport à l’écriture est devenu passionnel, littéralement.
Je bois un peu d’eau avant de reprendre :
- Certains de mes écrits m’effraient. Ils sont douloureux. Et pourtant je ne peux me résoudre à m’en séparer. Si je tourne la page des cahiers que je remplis d’idées obscures c’est pour en noircir une autre, et lorsque je tire un trait sur certaines phrases, ce n’est jamais définitif. Les mots sont toujours là, mutilés mais bien lisibles.
- Ah. Et c’est tout le temps comme ça ?
- Oh non, heureusement. Il y a aussi des moments de grâce où j’écris de belles choses lumineuses, parfois drôles. Ces mots-là peuvent se montrer si doux que j’en oublierais presque les fois où ils me font souffrir.
- Qu’attends-tu de nous Altaïr ?
- Tout et son contraire : indifférence, curiosité, intransigeance, bienveillance, sévérité, justesse. J’écris comme je suis, lisez-moi comme vous êtes !