Bienvenue, [mention]T. M. SMIETS[/mention] !
Du coup tu as l'air assez calé en fantasy ? Pour le coup j'ai un peu de mal à discerner la nuance entre fantasy et dark fantasy, je m'y connais assez mal...
Coucou ! Enchanté
Re: Coucou ! Enchanté
Bienvenue [mention]T. M. SMIETS[/mention]
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Re: Coucou ! Enchanté
Merci pour les nouveaux message d'accueil !
En ce qui concerne la dark fantasy, j'avoue que j'ai parfois moi-même du mal à la délimiter. Après tout, les frontières des genres sont assez poreuses. Toutefois, je dirais qu'un roman de fantasy est dark lorsqu'il explore des thématiques plutôt sombres et que les personnages le sont tout autant. Je citerais par exemple "Gagner la guerre" de Jean-Philippe Jaworsky, avec son personnage principal antihéros (un assassin) ou le "Trône de fer" de George R. R. Martin. Mais c'est aussi dans la manière dont le texte décrit les choses que le roman peut-être plus ou moins dark. On peut par exemple narrer une bataille avec un certain degré de détail, rendant la description plus ou moins crue (décapitation, viscères qui s'étalent au sol, etc.).
Mais comme l'a évoqué [mention]Renarde[/mention], la question qui demeure est de savoir comment doser tout ça.
Je ne sais pas si je peux dire que je suis vraiment calé en fantasy, mais disons que j'aime particulièrement les genres de l'imaginaire (fantastique et science-fiction y compris). Cela dit, ces derniers temps je lis davantage de littérature contemporaine (littérature "blanche").
En ce qui concerne la dark fantasy, j'avoue que j'ai parfois moi-même du mal à la délimiter. Après tout, les frontières des genres sont assez poreuses. Toutefois, je dirais qu'un roman de fantasy est dark lorsqu'il explore des thématiques plutôt sombres et que les personnages le sont tout autant. Je citerais par exemple "Gagner la guerre" de Jean-Philippe Jaworsky, avec son personnage principal antihéros (un assassin) ou le "Trône de fer" de George R. R. Martin. Mais c'est aussi dans la manière dont le texte décrit les choses que le roman peut-être plus ou moins dark. On peut par exemple narrer une bataille avec un certain degré de détail, rendant la description plus ou moins crue (décapitation, viscères qui s'étalent au sol, etc.).
Mais comme l'a évoqué [mention]Renarde[/mention], la question qui demeure est de savoir comment doser tout ça.
Renarde a écrit : ↑08 juil. 2020, 20:24 Bienvenue parmi nous @T. M. SMIETS !
Je trouve intéressant cette idée de "degré de noirceur". Jusqu'où aller pour faire passer le message qu'on a envie de faire passer ? J'avoue que c'est une question qui me taraude assez régulièrement, entre la volonté de réalisme et le souci de ne pas sombrer dans la surenchère (ou choquer uniquement pour choquer).
Bonne réécriture !
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