Parole de Personnage #2 - Jules

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Audrey Lys
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Parole de Personnage #2 - Jules

Message par Audrey Lys »

Et voici la deuxième par @LionneBlanche !

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Bonjour les plumes ! Ici Lionne Blanche J'attends mon invité pour ma première interview dans le cadre des PAroles de PArsonnages, et autant vous dire que je suis un poil stressée. Pour me calmer, j'ai ouvert la fenêtre et laissé entrer le chant des oiseaux. Oh, ça y est, ça frappe ! J'hésite à lui dire d'entrer, mais je suis professionnelle.
Jules s'assoit en face de moi. J'essaie de ne pas lui montrer qu'il me fait peur : après tout, j'ai des griffes et des crocs, et puis, comme nous sommes au premier étage, je peux me sauver si ça commence à sentir le roussi.

Bonjour, Jules, et merci d'avoir accepté de répondre à nos questions. Pour commencer, de quelle œuvre es-tu issu ?
Bonjour. Je vis dans Avant les cendres, d'une certaine Liné. Pourriez-vous me vouvoyer ?

Dois-je lui dire que, pour moi, le vouvoiement est une marque de respect, et que j'ai lu les trois premiers chapitres de son histoire ? En plus, le questionnaire est tout prêt, ce n'est même pas de ma faute?
Bon, autant reprendre comme si de rien n'était. Question suivante :

Quelle est ta plus grande qualité ? Et ton plus grand défaut ?
Je suis très généreux. J'accorde beaucoup de mon temps à ceux qui m'entourent. J'aime faire en sorte que mes proches donnent le meilleur d'eux-mêmes. Je trouve important que chacun s'élève à son plus haut niveau. Bon. Le revers de la médaille, bien sûr, c'est que je sais aussi être strict. Parfois trop. Mais c'est pour votre bien.
Regarde discrètement par la fenêtre.

Quel âge as-tu ?
Un homme de ma trempe ne révèle pas son âge. Comme les dames ! Disons que je pourrais être votre père. D'ailleurs, tout de même, la politesse veut que l'on vouvoie les plus grands que soi.
Remercie tous les oiseaux de passages qu'il ne soit pas mon père.
Heu? Ce sont des questions toutes prêtes, en fait, pour l'instant. Les premières questions sont communes à tous les PArsonnages?
Vois sa tronche : décide de rectifier le questionnaire pour des raisons de survie.

Votre signe astrologique ?
Je suis cancer. Vous croyez en ces balivernes ?
Heu... Bof.
En attendant, son signe astrologique est aussi le nom d'une maladie grave. Coïncidence ?

Votre animal totem/favoris ?
Petit, j'ai développé une véritable fascination pour les fourmis. Des êtres minuscules, qui vivent, grandissent et meurent dans un microcosme bien à eux. Je brûle de les comprendre. Tout en me doutant que, à bien des égards, elles ne sont pas si différentes des humains.
Il brûle? Ça fait vraiment froid dans le dos !
Vous avez l'air crispé.
Tu m'étonnes !

Votre couleur préférée ?
Le vert. La couleur des arbres, de la forêt. Et la couleur de l'espoir. Évidemment.
Évidemment...

Si vous deviez choisir l'un de ces quatre éléments (eau, air, terre, feu), lequel préféreriez-vous ?
La Terre. Celle qui nous nourrit, qui nous renvoie à notre condition de mortels. Même si je dois avouer que la vue d'un beau feu de cheminée me met en joie.
C'est marrant, je m'attendais plus à ce que vous répondiez, « le feu », justement. Pour des raisons de sécurité évidentes, vous comprendrez que j'ai préféré choisir une pièce sans cheminée.
Vous savez, aujourd'hui, ils fabriquent des cheminées parfaitement sécurisées.
Oui... Enfin... Bref : je me comprends.

Votre groupe sanguin ?
A. Juste A.
Ça... Ça n'existe pas... Mais bon, si vous y tenez...

Un proverbe qui vous définit bien ?
« Un travail assidu surmonte tous les obstacles ». C'est un proverbe de la Grèce antique.
Espérerons que ce soit le cas et que je me sorte sans dommage de cette galère...

Sucré ou salé ?
Sucré. Mais attention, pas trop ! Et du sucré, comment dire... crâmé. Le tourteau, avec sa croûte brûlée, c'est mon dessert préféré.
Là, cette fois, malgré ma couleur, il m'a certainement vu pâlir. C'est moi ou il fait de plus en plus chaud, ici ?
Ah bah tiens, justement ! C'est drôle, votre visage vient de prendre la même couleur qu'un tourteau : blanc jaunâtre. Encore un peu et vous me donneriez faim.
Il me sourit avec tendresse, et j'ai envie de prendre mes pattes à mon cou.

Pain au chocolat ou chocolatine ?
Pardonnez-moi, mais votre question me laisse sans voix.
Votre réponse a le même effet.
Voyons, je ne suis pas aussi impressionnant que cela !
Impressionnant, peut-être pas, mais effrayant... Si vous n'avez pas lu le premier chapitre de son livre, ne vous moquez pas.

Si vous deviez apprendre à jouer d'un instrument de musique, lequel choisiriez-vous ?
La guitare. Tout simplement. J'aime le bois. Et puis, c'est un instrument très prisé des jeunes, pratique pour les soirées au coin du feu.
Je veux ma maman...

Avez-vous déjà consommé des produits illicites ?
Jamais ! D'où vous vient donc cette question improbable ?
De Cirano, je crois.
Oh mince, je viens de balancer un collègue !
Mais c'est une question générale.
Vite, vite, vite : on enchaîne !

Vous faites quoi dans la vie ?
Je suis l'heureux directeur d'une colonie de vacances. La Fourmilière. Vous ne le saviez pas ?
Moi, si. Mais c'est pour les lecteurs.

Une femme, des enfants, des frères et sœurs ?
Mes parents sont morts. Je ne me suis jamais marié. Quant aux enfants, j'ai assez à faire avec les petits qui viennent passer leurs étés à la Fourmilière !
Gloups.

Quelle est votre relation avec vos parents ?
Ils étaient très disciplinés. Un peu trop, d'ailleurs. C'est une bonne chose que les sévices corporels soient aujourd'hui réprimés par la loi. Sans compter que la communication n'était pas leur fort... Comme quoi, certains humains ne sont pas faits pour l'éducation. C'est ainsi.

Oui... Comme quoi... Quel est votre premier amour ? (si vous en avez eu un)
Mais enfin, mademoiselle... Bon. Pour être gentil avec vous, je vais tout de même vous répondre ceci : mon premier amour, c'est mon métier.
Et si je me tirais maintenant ? Après tout, c'est du volontariat, je pourrais toujours trouver une excuse...

Votre plus grosse bêtise quand vous étiez enfant ?
Décidément, vos questions sont très indiscrètes. Heureusement pour vous, j'obéis à vos règles. Bon. Quand j'étais petit, sept ans à peu près, je jouais avec ma cousine. Elle est handicapée. Je m'occupais d?elle. Je m'amusais à lui faire prendre son bain. Il y avait une grande bassine, en fonte. Comme dans les temps anciens. Cette bassine, nos parents la remplissaient, la déposait dans le jardin. Et avec cette bassine, dans ce jardin, je lavais ma cousine. Bon. Et une fois... On chahutait. On se chatouillait. Elle a eu un geste violent, elle m'a frappé dans l'œil. Ça arrive. Je me suis senti mal. Très mal. Mon réflexe, aussi étrange que cela puisse vous paraître, a été de forcer sa tête sous l'eau. Et de l'y maintenir quelques secondes. Dieu merci, elle n'a rien ! Mais je regrette ce geste.
Oui... Étrange...
Sortez-moi de là, non d?une grenouille !!!

Vous? vous nous racontez votre meilleur souvenir ?
Cette cousine, mon oncle et ma tante avaient du mal à s'en occuper. Trop de cris. Trop de pleurs. C'est éreintant. À vingt ans, j'ai réussi à la faire placer dans un centre spécialisé. Pile pour sa maladie. Au début, elle rechignait. Ses parents n'étaient pas très enthousiastes. Néanmoins elle s'y est taillé une petite vie. Et je garde encore l'image, très réconfortante, de son sourire. Quand je lui rendais visite, les mercredis après-midi. Un sourire, grand, lumineux ! Depuis, elle est décédée.
Ne pas demander de quoi, ne pas demander de quoi...

Et votre plus grand regret ?*
J'aurais aimé être instituteur. Mais j'ai raté les concours. Entre-temps, ma cousine a intégré ce centre spécialisé que j'évoquais à l'instant. Pour dépasser ce regret, je me suis lancé dans la création de la Fourmilière. Ça m'a pris d'un coup ! Une fulgurance. Imaginez : si je ne peux pas éduquer les enfants à l'école, c'est simple. Je les éduquerai lorsqu'ils n'y sont pas. Aujourd'hui, je suis très fier de ce que j'ai construit.
Il devine forcément que je suis très mal à l'aise...

Votre plus grand traumatisme ?
Vous semblez chercher des extrêmes. Le plus grand ceci, le plus grand cela... Sachez que je suis un homme mesuré. Je pourrais sans doute vous parler de la fois où j'ai vu un agriculteur abattre de sang-froid son cheval malade. Ou encore de mon oncle qui, pour me dissuader de faire des bêtises, approchait un briquet de mes cheveux. Mais ces épisodes ont-ils vraiment de l'importance ? Chaque individu a connu des traumatismes. Rien ne sert de les partager.
Disons que ça peut... Peut-être aider à comprendre certaines choses...

Que faites-vous pour vous détendre après une dure journée ?
Je ne devrais peut-être pas en parler, mais... J'adore profiter de mon bureau, seul, un bon verre de whiskey à la main. Toutefois, rassurez-vous, je ne bois jamais devant les enfants ! L'alcool ne mène qu'à la dégradation de soi.
Il y a bien pire à faire en présence d'enfants, ou du moins, à proximité...

Vous avez un rêve ?
Je ne rêve jamais grand. S'inventer des lubies, c'est inviter l'inconnu, la déraison. Il faut savoir faire preuve d'humilité. Garder les pieds sur terre. D'ailleurs, je ne rêve pas du tout : mes nuits restent noires, et cela me va très bien.
Help...

C'est quoi le but de votre vie ?
J'ai peur pour l'avenir de nos jeunes. Le futur ne leur offre que très peu d'alternatives et ils se noient de plus en plus dans les choses irréelles. Le virtuel. L'imaginaire. J?aimerais redonner un sens à leur existence. Leur inculquer une certaine discipline.
Chuchote : Les pauvres...
Vous dîtes ?
Non, rien !

Et enfin, puisqu'on est entre nous, que pensez-vous de votre auteur ?
Nous avons passé un peu de temps ensemble et, en toute honnêteté, je ne la comprends pas. Elle est jeune. Elle a des idées farfelues dans la tête. Elle parle à tout va de libertés. Bon. Si vous voulez mon avis, il lui manque un peu de plomb dans le crâne. Voilà tout.
Chasse une image mentale de Jules courant après Liné avec une carabine...
 
Si vous en aviez l'occasion, vous l'assassineriez de quelle manière ?
Enfin voyons, pourquoi assassinerais-je qui que ce soit ! Je ne vous connais pas, mademoiselle, mais je sens en vous comme une pointe de malice mal placée...

Non, mais, c'est juste que, du coup, j'ai lu les trois premiers chapitres d'Avant les cendres...
Un tissu de futilités, cette histoire. Et sans queue ni tête... c'est le cas de le dire. Enfin, on n'a pas idée de raconter une histoire à l'envers, en commençant par la fin !
On n'a surtout pas idée de faire ce qu'il fait à la fin de son histoire, même si ça se retrouve au début, du coup...

D'où vous vient ce besoin de contrôler, de dominer ?
Je ne contrôle pas ! Je ne domine pas ! L'univers doit être régi par l'ordre, voilà tout. Il y a des normes. Des hiérarchies. Des choses à dire et à ne pas dire, des choses à faire et à ne pas faire. Vos parents ne vous ont donc rien appris, à vous ?
Si, si, tout un tas de choses? Mais ils étaient peut-être un poil moins enflammés que vous...

Votre avis sur le handicap ?
C'est un fléau. Un vrai fléau. Devoir ainsi composer avec sa propre différence, dépendre d'autrui... Et pour les personnes normales, qui gèrent des handicapés, la tâche n'est pas plus aisée : croyez-moi, ce n'est pas une mince affaire. Cela nécessite de la patience. Une hygiène de vie irréprochable. Ce dont tout un chacun ne dispose pas forcément.
La ferme, Lionne ! Tu veux vivre ?! J'aurai peut-être dû faire gaffe à mes questions...

Vous aimez vraiment les enfants ?
Bien sûr ! D'un amour, ou plutôt d'une tendresse parfaitement saine. En tant qu'adulte, j'ai l'expérience nécessaire à leur apprentissage. Comme un relais que je leur passe. Il est de mon devoir de les diriger. Et il est de leur devoir, à eux, de prendre le bâton que je leur tends.
Plus qu'une, plus, qu'une... Courage !

Pouvez-vous nous donner l'adresse de votre colonie de vacances, histoire qu'on soit certains de ne jamais y envoyer nos lionceaux ?
Avec plaisir : 6 route du Consensus, 26910 Brèze-En-Neige. C'est en pleine forêt, au pied des glaciers. Vos enfants y sont les bienvenus ! Vous voulez consulter le Programme ?
Heu... Non merci. Je n'ai pas encore de lionceaux, de toute façon, et j'invite tous ceux et celles qui seraient tentés d'envoyer leur progéniture dans votre camp, de lire, avant, au moins le premier chapitre d'Avant les cendres. Je pense que ça pourrait pas mal influer sur leur décision...
Pourtant Liné a raison sur un point, la Fourmilière est un endroit très chaleureux !
Il sourit. Un sourire taquin qu'il cherche à me cacher, mais que j'aperçois néanmoins, l'espace d'un instant. Au secours !
Mince, mon portable que vibre.

Flûte, un message, et des questions imprévues... C'est bête, j'avais trente questions tout juste, et surtout, je suis pressée d'en finir...
Heu? Jules, il semble que je viens de recevoir quelques questions de dernières minutes... Accepteriez-vous d'y répondre malgré tout ? Elles ne sont pas de moi, je précise ! Mais de l'auteur qui vous a désigné et auquel je dois d'ailleurs un joli traumatisme... Heu... Voici la première question :
Inspirer un grand coup : courage, Lionne !
Pourquoi êtes-vous si coincé ?
Vous avez le chic pour juger les gens. Je ne suis pas « coincé », comme vous le dites si bien. Je dirige une colonie de vacances. Cela demande beaucoup de rigueur. Dieu merci, je suis très heureux de sacrifier un peu de mon temps et de mon énergie pour les enfants. Soit dit en passant, mademoiselle, je n'aime pas votre tendance aux insultes cachées.
La question n?est pas de moi, comme je viens de le préciser...
Songe à toucher deux mots à Respoumpi : qui assume, certes, mais loin de Jules...

Claire vous fait-elle penser à quelqu'un qui vous a traumatisé ?
Non. Pas du tout. Pourquoi cette question ? Elle et moi avons nos différends, c'est vrai. Elle a tendance à dépasser les bornes. Je ne compte pas la réemployer l'an prochain. Je préférerais qu'elle disparaisse.
Laisse échapper une petite larme.

Que prenez-vous au petit-déjeuner pour être aussi détestable?
Puisque vous tenez tant à me décrire comme « coincé », « détestable »... Voilà qui devrait vous donner du grain à moudre : le matin, je mange des enfants. Je suis un ogre. Satisfaite ?
Je serais presque tentée de le croire...

Êtes-vous du genre à repasser vos sous-vêtements ? À les plier ? À procrastiner ?
Bien sûr qu'il faut repasser et plier ces sous-vêtements ! L'habit ne fait pas le moine, certes, mais il donne de l'allure. Confiance en soi. J'avoue toutefois ne pas repasser l'ensemble de mes vêtements lorsque le temps me manque. Allez-vous me juger pour cela, aussi ?
Ce type est vraiment... Non, mais sérieux, personne ne voit les sous-vêtements ! Surtout quand on est célibataire...
Soyez rassuré, personne n'ira vérifier l'état de vos sous-vêtements...
Sauf peut-être la police, assez rapidement...
Bon, je crois que nous en avons fini.
Merci !!!!
Je n'ai plus qu'à vous souhaiter un bon... Retour. Et merci d''avoir répondu à nos questions.
Et d'oublier où je bosse...
Pitié, la prochaine fois, ne me refilez pas de tordus !!!


XD en tout cas merci à notre lionne préférée, à @respoumpi et @Liné ainsi qu?à @Renarde qui a illustré !
Modifié en dernier par Audrey Lys le 20 juin 2020, 22:10, modifié 5 fois.

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Sorryf
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Parole de Personnage #2 - Jules

Message par Sorryf »

>Je suis très généreux.

J'ai explosé de rire :rofl:

>**Votre groupe sanguin??**
A. Juste A.
**Ça? Ça n?existe pas**

j'ai hurlé :rofl::joy: :rofl:

>Pardonnez-moi, mais votre question me laisse sans voix.
**Votre réponse a le même effet.**

je me suis roulée par terre :rofl:

Super interview ! Bravo Liné, bravo Lionneblanche ! c'était super d'en découvrir plus sur ce charmant personnage (T.T)

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Hinata
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Message par Hinata »

Mais ça donne teeellement envie d'aller lire la fiction c'est fou XD (enfin, je veux dire... ça fait peur, mais c'est méga intriguant quoi !) Et quand on a déjà lu c'est juste..très très drôle :rofl: :rofl: :rofl: Je crois que ce que je préfère c'est quand Jules fait des petits commentaires à Lionne au lieu de répondre XD

Bravo bravo !!

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LionneBlanche
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Message par LionneBlanche »

Évitez de lire le soir, je crois que c'est préférable :smile:
Expérience très amusante une fois les tremblements apaisées :smile:

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Rimeko
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Message par Rimeko »

Ah mais @Liné tu t'es lâchée sur les réponses, d'un côté c'est tellement Jules, de l'autre... C'EST QUOI TOUTES CES ALLUSIONS :scream: C'est aussi super intéressant d'en apprendre plus sur son enfance (la cousine, les parents stricts... un certaIN OBJET...) (ouais okay je me suis pas remise du premier chapitre je crois)
Et @LionneBlanche les petits commentaires en italique m'ont tellement fait rire, vous vous êtes bien fait tourner en bourriques toutes les deux :rofl:

Oh, et mention spéciale au :
> *Chasse une image mentale de Jules courant après Liné avec une carabine?*
**Si vous en aviez l?occasion, vous l?assassineriez de quelle manière??**

:rofl: :rofl:

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Renarde
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Message par Renarde »

Excellent cet interview ! J'ai adoré les commentaires de notre journaliste à pattes :rofl:

Et j'étais bien contente de ne pas être à ta place @LionneBlanche, brrr... Et @Liné, bravo pour l'humour noir !

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Gabhany
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Message par Gabhany »

EXCELLENT XD XD XD vous m'avez tuée (~~commentçac'estpasdrôle~~) les filles @LionneBlanche et @Liné !

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Isapass
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Message par Isapass »


> Votre signe astrologique??
> Je suis cancer. Vous croyez en ces balivernes??
> Heu? Bof?
> En attendant, son signe astrologique est aussi le nom d?une maladie grave? Coïncidence??

Teeeellement bien trouvé ! :laughing:

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LionneBlanche
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Message par LionneBlanche »

@isapass Facile, mon homme est cancer :smile:

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EryBlack
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Message par EryBlack »

Super cool cette interview !! C'est un vrai texte en soi ^^ bravo LionneBlanche et bravo Liné ! Effectivement, ça donne très envie d'aller lire l'histoire pour en avoir le coeur net. Mais étant donné ce qu'on devine (et ce que Liné m'a déjà raconté) je pense que c'est une très mauvaise idée pour la petite nature que je suis xD je la garde sous le coude pour un jour où je me sentirai badass.
J'avais juste une remarque à faire à Jules à propos de son proverbe : "Labor omnia vincit improbus", c'est de Virgile et c'est latin, pas grec ! Sans vouloir offenser le monsieur... :p

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