Je connais quelques titres
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After® d'Auriane Velten - où les "il" et les "elles" sont remplacés par "ile", “un” ou “une” par des “an”, “mon” et “ma” forme “man”. // Je ne l'ai pas lus.
Résumé (volé sur internet) :
La Terre d’après... À l’abri d’un baobab, une société utopique, soudée par des règles strictes et bienveillantes, semble profiter d’une vie paradisiaque, totalement apaisée et égalitaire.
Pourtant, l’un des membres de cette communauté ne peut s’empêcher de se poser mille et une questions, sur tout, y compris sur l’avant. Une particularité qui fait de Cami la personne idéale pour remplir une mission d’exploration – sous surveillance. C'est donc avec Paule que Cami part pour les terres renoncées, une zone inhabitée et hostile, en quête d’une mémoire oubliée. Rapidement, leurs découvertes dépassent l’entendement, et les déroutent au-delà de ce qui peut être imaginé.
Ce voyage risque bien de bouleverser leur vie… et l'humanité.
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Les enfants du passé de Luce Basseterre - où le pronom iel est employé et où, pareil, il y a un ramplacement des déterminants (mi ; mo ; li ; lo...) -- j'ai lu ce roman et il est très chouette !
Résumé (volé sur le site du dernier éditeur en date : Argyll) :
La Terre n’est plus qu’un souvenir. L’humanité l’a désertée, embarquée à bord d’arches confiées à des pilotes génétiquement modifiés et quasi immortels, pour s’établir sur d’autres planètes.
Djaël Aldrin est l’un de ces êtres améliorés. Mais désormais il sillonne seul les confins de la galaxie dans un immense cargo musée. Malgré les apparences trompeuses, il agit dans le cadre d’une mission délicate.
Pourtant, secourir un esclave lors d’une escale n’était pas du tout prévu. Que faire alors de ce tout jeune homme pour qui le mot liberté n’est qu’un concept ? Et pourquoi sa Compagnie renvoie-t-elle Djaël à un très lointain passé qu’il s’est efforcé d’oublier ?
Note : de la même auteurice, il y a aussi
Le chant des fenjicks ainsi que
La Débusqueuse de mondes qui sont également "neutre" dans leur démarche.